Il y a de ses groupes qu’on découvre au hasard des lectures de presse spécialisée ou de blogs, et c’est grâce à un blog que j’ai découvert The organ (Merci Sam), et souhaite vous faire partager cette découverte troublante.
The organ est un groupe canadien exclusivement féminin, qui a proposé sa mélancolie et sa poésie pendant 5 ans, car aujourd’hui le groupe s’est officiellement séparé.
Pourquoi parler d’un groupe dont on ne peut plus rien attendre…
Parce qu’il est impossible de rester insensible à leur musique, et c’est mon cas. Inscrit dans les codes new wave, the organ apporte ce je ne sais quoi qui fait que c’est bon, et on en
redemande ; que ce soit le magnifique timbre de voix de Katie Stretch dotn l’intensité laisserait penser à un Ian curtis au féminin, des paroles dures et mélancoliques, des sons de
guitare clairs, une batterie syncopée et un clavier Korg (apparement)…
L’album « Grab that gun » reste un bijou de la nouvelle vague de New Wave (c’est le cas de le dire), à écouter seul, un dimanche de mauvais temps, en regardant la pluie tombée derrière les carreaux,
ou simplement quand on aspire à une certaine tranquillité.